La voie des oubliés
La voie des oubliés : Nourriture, soins et vêtements pour des réfugiés
Réduction fiscale

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sur un objectif de
5 875 €
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J - 45 temps restant
Les étapes
0 € / 1459 €
Médicaments
0 € / 3791 €
Achat de 40 sacs de "teff " (céréales locales)
0 € / 469 €
Vêtements
0 € / 156 €
Frais de transport des étudiants pour revenir chez eux

Au Nord de l’Éthiopie, une population accablée par un conflit armé incessant 

Bahir Dar est la troisième plus grande ville d'Éthiopie, située dans la région Amhara, au nord-ouest du pays. Cette région a été le théâtre de conflits armés intenses ces dernières années. 

De nombreuses personnes ont fui les violences dans les zones rurales avoisinantes pour chercher refuge en ville, perdant au passage leur foyer, leurs terres et leurs moyens de subsistance.

Le conflit a détruit ou rendu inaccessibles les centres de santé et l’approvisionnement en médicaments, aggravant les risques de maladies pour les déplacés déjà victimes de conditions de vie précaires.

 « Les plus vulnérables sont les personnes âgées, les femmes pauvres et les enfants, qui souffrent de malnutrition, de manque de soins médicaux et de détresse psychologique. » Sr Woynitu

Les Filles de la Charité sont présentes à Bahir Dar depuis 1991. Leur travail auprès des femmes pauvres et analphabètes, en leur apportant éducation et formation, a conféré une légitimité forte dans leur capacité à venir en aide auprès des plus vulnérables.

« Nous nous efforçons d'autonomiser les femmes dans le besoin et d'améliorer leurs revenus quotidiens. De plus, nous fournissons des services essentiels tels que la nourriture, l'eau, le logement, les soins de santé, l'éducation et le soutien aux migrants et aux réfugiés. Nos efforts s'étendent également à l'aide aux victimes de la traite des êtres humains et à la lutte contre la pauvreté. » Sr Woynitu

Nourriture, soins médicaux et vêtements : une réponse vitale pour améliorer le sort de 150 personnes déplacées par le conflit 

Avec l'effondrement des économies familiales et l'inflation, se nourrir est devenu le défi numéro un pour ces populations.

Le projet vise à fournir la base de l'alimentation locale (le "Teff") pour garantir au moins deux repas par jour et fortifier leur état nutritionnel.

Une aide médicale est également urgente pour restaurer leur santé et prévenir des maladies et risques de décès. Les personnes âgées sont notamment les plus fragiles et nécessitent des soins réguliers. 

Ayant tout perdu dans leur fuite, les réfugiés manquent de vêtements pour se protéger des températures (chaleur de jour, fraîcheur la nuit), ce qui aggrave leur vulnérabilité aux maladies.

Les soeurs veulent en outre soutenir les étudiants universitaires issus des familles déplacées en finançant en partie leurs frais de transport pour revenir chez eux.

« Sans ce projet, le sort de ces personnes réfugiées est extrêmement précaire. Déjà en grande détresse psychologique, elles risquent de sombrer dans la famine et de voir leur santé se dégrader irrémédiablement. » Sr Woynitu

« Merci à tous les donateurs qui voudront bien se mobiliser à nos côtés pour venir en aide aux personnes démunies. Grâce à votre générosité, 150 personnes pourront recevoir l'assistance vitale dont ils ont besoin. » Sr Woynitu


En cas de financement du projet au-delà de l'objectif, le surplus des dons reçus sera affecté à un projet similaire.

 

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L'équipe des Projets Rosalie
Sr Woynitu Woldesenbet

Je m'appelle Sœur Woynitu Woldesenbet, Fille de la Charité depuis 2001. Ma première mission a commencé à la maison Altena St. Justin De Jacob, où j'ai servi d'assistante à la sœur servante et où j'ai apporté mon soutien au programme de maternelle.
Après deux ans de service, j'ai été envoyée à l'Institut de formation des enseignants de maternelle Montessori à Wolaita Sodo pour une année d'études. Après avoir terminé ma formation en maternelle en 2006, j'ai été nommée enseignante de maternelle et j'ai consacré sept ans à travailler avec des enfants défavorisés à l'école catholique Atse Tekle Ghiorgis à Addis-Abeba. Pendant mon mandat à l'école, j'ai également obtenu un diplôme dans le cadre d'un programme de formation au Kotebe Teachers Training College en 2012.
Ensuite, j'ai suivi un cours de langue et j'ai été envoyée à Bahir Dar où j'ai obtenu mon diplôme de licence en gestion générale à l'Alkan Health and Business College en 2017. Depuis, j'assume le rôle d'administratrice de l'école maternelle et primaire catholique B/G/M, en plus de mes responsabilités de sœur servante.

Bahir dar
Éthiopie