Si le chemin est souvent long et difficile, pour se défaire d’une addiction à la drogue il est d’autant plus beau qu’il aide à redécouvrir la beauté de sa vie, pour une plus grande estime de soi.

La drogue apparait bien souvent comme l’expérience permettant de cicatriser une blessure, une souffrance. Mais ce n’est qu’une spirale conduisant à l’isolement, la dépression et une plus grande souffrance physique et spirituelle qui se met en place.

L’Eglise souhaite participer à la reconstruction de ces jeunes, en les aidants dans leur cheminement vers la reconquête de leur liberté.
De la prévention, à la libération Elle désire apporter un message de soutien envers les parents des jeunes, mais également des actes concrets pour ces jeunes dépendants.

Saint Jean Espérance, fondé en 1987 par le père Jean-Philippe qui à la suite d’une neuvaine à la Chapelle de la Médaille Miraculeuse, rue du Bac, ouvre une maison d’accueil pour jeunes toxicomanes à Pellevoisin.

Saint Jean Espérance

Source: http://www.stjean-esperance.net/


Ou encore les Fermes d’Espérance, qui relèvent les jeunes dépendants, les aident avec un programme basé sur l’amour charitable, la prière et le travail.
Laïcs et consacrés travaillent alors ensemble pour créer un environnement avec des nouvelles bases solides pour une réinsertion réussie dans la vie.

Ferme d'Espérance

Source: http://www.fazenda.org.ar

Répondre à l’appel de leur mission, aider ces jeunes à se reconnaitre humblement faible, avec le désir ardent de se libérer de ses dépendances, forger leur caractère dans le concret pour avancer vers la Vérité, car après tout ne sont-ils pas également le sel de la terre et la lumière du monde ?